Vite Recherche

PRODUITS

1,3-DIMÉTHYLXANTHINE

La 1,3-diméthylxanthine est une diméthylxanthine dont les deux groupes méthyles sont situés aux positions 1 et 3. 
La 1,3-diméthylxanthine est structurellement similaire à la caféine et se trouve dans le thé vert et noir. 
La 1,3-diméthylxanthine a un rôle d'agent vasodilatateur, d'agent bronchodilatateur, de relaxant musculaire, d'EC 3.1.4.

Numéro CAS : 58-55-9
Formule moléculaire : C7H8N4O2
Poids moléculaire : 180,16
Numéro EINECS : 200-385-7

Synonymes : théophylline, 58-55-9, 1,3-Diméthylxanthine, Elixophylline, Théophylline, Théophylline, Théophylline anhydre, Nuelin, Respbid, Théocine, Elixophylline, Lanophylline, Pseudothéophylline, Solosin, Théovent, Uniphylle, Slo-phylline, Théo-dur, Armophylline, Liquophylline, Parkophylline, Accurbron, Aerolate, Bronkodyl, Doraphylline, Elixicône, Maphylline, Médaphylline, Optiphylline, Téofyllamine, Théocontin, Théograd, Uniphylline, Xantivent, Austyn, Elixex, Teolair, Theobid, Theofol, Theolix, Acet-theocin, Slo-bid, Aerolate III, Euphylong, Synophylate, Theacitin, Theophyl-225, Duraphyl, Sustaire, Somophyllin-t, Constant-T, Theophylline, anhydre, Teofilina, Theochron, Asmax, Quibron T/SR, Theal tablets, 1,3-dimethyl-7H-purine-2,6-dione, Bronkodyl SR, Theoclair-SR, Theoclear LA, Quibron-T, Spophylline retard, Aquaphyllin, Theoclear 80, Theodur, Theostat 80, Theo-11, 3,7-Dihydro-1,3-dimethyl-1H-purine-2,6-dione, Choledyl SA, Synophylate-L.A. Cenules, Theo-Dur-Sprinkle, Elixomin, Theodel, Theolixir, Theophyl, LaBID, Elixophylline SR, Theophylline-SR, Pro-vent, Somophyllin-CRT, Aerolate SR, Theophyll-SR, Somophyllin-DF, Theona P, Uni-Dur, Theoclear-80, Quibron-T/SR, T-Phyl, Pulmidur, Theoclear-200, Teonova, Theo-24, Unifyl, Theolair-SR, Theobid Jr. , GS 2591A, Euphylline, Theoclear L.A.-130, C7H8N4O2, Bronkotabs, Xanthine, 1,3-diméthyl-, 1,3-diméthyl-3,7-dihydro-1H-purine-2,6-dione, Theo-Organidin, NSC 2066, 1,3-diméthyl-2,3,6, 7-tétrahydro-1H-purine-2,6-dione, X 115, 1H-Purine-2,6-dione, 3,7-dihydro-1,3-dimethyl-, Dimethylxanthine, CCRIS 4729, Purine-2,6(1H,3H)-dione, 1,3-dimethyl-, 1,3-dimethyl-1H-purine-2,6(3H,7H)-dione, HSDB 3399, Métabolite de la doxophylline m3, Étalon du point de fusion de la théophylline, Theal tabl., NSC-2066, EINECS 200-385-7, MFCD00079619, UNII-0I55128JYK, Theophylline,anhydrus, DTXSID5021336, CHEBI :28177, AI3-50216, 0I55128JYK, 2,6-Dihydroxy-1,3-dimethylpurine,  1,3-diméthyl-1H-purine-2,6(3H,9H)-dione, cétraphylline, éthéophylle, aérobine, Theopek, Theospan, CHEMBL190, théophylline [USP], NSC-757346, 1,3-diméthyl-2,6-dioxo-1,2,3,6-tétrahydropurine, AEROLATE JR, MLS000069390, DTXCID001336, 1,3-diméthylxanthine ; Theo-24, 75448-53-2, Diffumal, Egifilin, Physpan, THEOCLEAR-100, LASMA, NSC2066, EC 200-385-7, 1246816-25-0, 58-55-9 (ANHYDRE), Théophylline (1,3-diméthylxanthine), THEOCLEAR L.A.-260, Teofilina [polonais], NCGC00018117-07, NCGC00018117-17, Mudrane, SMR000058537, Talotren, Teosona, Theokin, Theotard, Hylate, Theobid Duracap, Theophylline (USP), Nuelin SA, Bronchodid Duracap, Uniphyllin continus, 50857-74-4, THEOPHYLLINE (USP-RS), THEOPHYLLINE [USP-RS], 1H-Purine-2,6-dione, 3,9-dihydro-1, 3-diméthyl-, THÉOPHYLLINE (II), Teocen 200, UNII-C137DTR5RG, THEOPHYLLINE (IARC), Elixophylline(e), Theodur G, CAS-58-55-9, THÉOPHYLLINE ET DEXTROSE 5% DANS UN RÉCIPIENT EN PLASTIQUE, THÉOPHYLLINE DANS DU DEXTROSE 5% DANS UN RÉCIPIENT EN PLASTIQUE, Theolair (TN), Elixophyllin (TN), Uniphyllin (TN), THÉOPHYLLINE (EP IMPURETÉ), Quibron-t (TN), Theodur G (TN), THÉOPHYLLINE 0,04% ET DEXTROSE 5% DANS UN RÉCIPIENT EN PLASTIQUE, THÉOPHYLLINE 0,08% ET DEXTROSE 5% DANS UN RÉCIPIENT EN PLASTIQUE,  THÉOPHYLLINE 0,16 % ET DEXTROSE 5 % DANS UN RÉCIPIENT EN PLASTIQUE, THÉOPHYLLINE 0,2 % ET DEXTROSE 5 % DANS UN RÉCIPIENT EN PLASTIQUE, THÉOPHYLLINE 0,32 % ET DEXTROSE 5 % DANS UN RÉCIPIENT EN PLASTIQUE, THÉOPHYLLINE 0,4 % ET DEXTROSE 5 % DANS UN RÉCIPIENT EN PLASTIQUE, THÉOPHYLLINE (MONOGRAPHIE USP), IMPURETÉ DE DIMENHYDRINATE A (IMPURETÉ EP), IMPURETÉ DE DIMENHYDRINATE A [IMPURETÉ EP], IMPURETÉ DE PENTOXIFYLLINE C (IMPURETÉ EP), IMPURETÉ DE PENTOXIFYLLINE C [IMPURETÉ EP], ANHYDRE,  Théophylline, NSC 757346, SR-01000075195, IMPURETÉ DE CAFÉINE A (IMPURETÉ EP), Theo-24 (TN), DICURINE PROCAÏNE COMPOSANT THÉOPHYLLINE, IMPURETÉ DIPROPHYLLINE B (IMPURETÉ EP ), Liquoplylline, Duraphy, Telbans, THÉOPHYLLINE MONOHYDRATE (MONOGRAPHIE EP), Physpa, Unidur, MERSALYL-THÉOPHYLLINE COMPOSANT THÉOPHYLLINE, Unicontin CR, CAFÉINE MONOHYDRATE IMPURETÉ A (impureté ep ), 4eoh, Aescin-IIA, Théophylline forme II, théophylline solu-tion, composant de Primatène, Xanthine,3-diméthyl-, Opera_ID_76,  Spectrum_001038, Théophylline (JP18), 2a3a, Théophylline (standard), Prestwick0_000820, Prestwick0_000873, Prestwick1_000820, Prestwick1_000873, Prestwick2_000820, Prestwick2_000873, Prestwick3_000820, Prestwick3_000873, Spectrum2_000842, Spectrum3_000672, Spectrum4_000353, Spectrum5_001232, THÉOPHYLLINE [MI], 8-(2-Furyl)théophylline, UPCMLD-DP123, composant de la théo-organidine, SCHEMBL4915, Théophylline anhydre,(S), 1,3-diméthyl-1,3,7-trihydropurine-2,6-dione, Lopac0_000014, BSPBio_000719, BSPBio_000945, BSPBio_002363, composant de la procaïne de dicurine, GTPL413, KBioGR_000785, KBioSS_001518, impureté de Pentoxifylline EP F, MLS002152943, MLS002153487, MLS004491910, MLS006011970, BIDD :ER0557, BIDD :GT0151, DivK1c_000203, SPECTRUM1500568, THEOPHYLLINE [WHO-DD], SPBio_000823, SPBio_002640, SPBio_002866, BPBio1_000791, BPBio1_001041, SCHEMBL8312163, IMPURETÉ DE DIMENHYDRINATE A, composant de Tedral (sel/mélange), UPCMLD-DP123:001, BCBcMAP01_000071, BDBM10847,  BDBM82053, composant de Quibron (sel/mélange), HMS500K05, HY-B0809R, KBio1_000203, KBio2_001518, KBio2_004086, KBio2_006654, KBio3_001583, composant de Hecadrol (sel/mélange), NINDS_000203, Théophylline, 1 mg/ml dans le méthanol, HMS1921E03, HMS2089A06, HMS2092M05, HMS2233E16, HMS3259O06, HMS3369N14, Pharmakon1600-01500568, composant des comprimés de Primatene (sel/mélange), AKOS000120961, AKOS005434016, composant de Bronkotabs (sel/mélange), HY-B0809, STR01537, Théophylline 1,0 mg/ml dans le méthanol,  Théophylline, >=99,0% (HPLC), Tox21_110827, Tox21_202375, Tox21_300028, CCG-20301, HB2849, NSC757346, PDSP1_001018, PDSP1_001234, PDSP2_001002, PDSP2_001218, STK397040, THEOPHYLLINE ANHYDRE [HSDB], THÉOPHYLLINE, ANHYDRE [VANDF], AKOS000120961, AKOS005434016, composant de Quibron Plus (sel/mélange), Tox21_110827_1, composant de Quibron-T/SR (sel/mélange), composant de Theo-organdin (sel/mélange), composant de Theolair plus (sel/mélange),  CS-4158, DB00277, NC00542, Purine-2,3H)-dione, 1,3-dimethyl-, SDCCGMLS-0066620. P001, SDCCGSBI-0050003. P005, composant de Theo-Organidin (sel/mélange), IDI1_000203, SMP1_000291, composant de Slo-phylline GG (sel/mélange), NCGC00018117-01, NCGC00018117-02, NCGC00018117-03, NCGC00018117-04, NCGC00018117-05, NCGC00018117-06, NCGC00018117-08, NCGC00018117-09, NCGC00018117-10, NCGC00018117-11, NCGC00018117-12, NCGC00018117-13, NCGC00018117-14, NCGC00018117-15, NCGC00018117, 1,3-diméthyl-3,7-dihydro-1H-purine-2,6-dione ; 1,3-diméthyl-xanthine ; 1H-Purine-2,6-dione, 3,7-dihydro-1,3-diméthyl- ; 3,7-dihydro-1,3-diméthyl-1H-purine-6-dione ; 3h)-dione,1,3-diméthyl-purine-6(1h ; 6-dione,3,7-dihydro-1,3-diméthyl-1H-purine-2 ; accurbron ; Acet-theocin

Les 1,3-diméthylxanthines dans des réactions exothermiques pour former des sels plus de l'eau. Peut être incompatible avec les isocyanates, les composés organiques halogénés, les peroxydes, les phénols (acides), les époxydes, les anhydrides et les halogénures acides. 
Inhibiteur, un médicament antiasthmatique, un agent anti-inflammatoire, un immunomodulateur, un antagoniste des récepteurs de l'adénosine, un métabolite médicamenteux, un métabolite fongique et un métabolite sérique du sang humain.
De l'hydrogène gazeux inflammable peut être généré en combinaison avec des agents réducteurs puissants, tels que des hydrures.

La théophylline, également connue sous le nom de 1,3-diméthylxanthine, est un médicament qui inhibe la phosphodiestérase et bloque les récepteurs de l'adénosine.
Il est utilisé pour traiter la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et l'asthme.
La pharmacologie des 1,3-diméthylxanthines est semblable à celle d'autres médicaments à base de méthylxanthine (par exemple, la théobromine et la caféine).

Des traces de théophylline sont naturellement présentes dans le thé, le café, le chocolat, le yerba maté, le guarana et la noix de kola.
Le nom « théophylline » dérive de « Thea » – l'ancien nom de genre pour le thé + Legacy Greek φύλλον (phúllon, « feuille ») + -ine.
La 1,3-diméthylxanthine et d'autres méthylxanthines sont souvent utilisés pour leurs effets d'amélioration des performances dans les sports, car ces médicaments augmentent la vigilance, la bronchodilatation et augmentent le taux et la force de contraction cardiaque.

Il existe des informations contradictoires sur la valeur de la 1,3-diméthylxanthine et d'autres méthylxanthines comme prophylaxie contre l'asthme induit par l'exercice.
L'utilisation de la 1,3-diméthylxanthine est compliquée par son interaction avec divers médicaments et par le fait qu'elle a une fenêtre thérapeutique étroite (<20 mcg/mL).
Son utilisation doit être surveillée par une mesure directe des taux sériques de théophylline pour éviter la toxicité. 

Il peut également provoquer des nausées, de la diarrhée, une augmentation du rythme cardiaque, des rythmes cardiaques anormaux et une excitation du SNC (maux de tête, insomnie, irritabilité, étourdissements et étourdissements).
Les convulsions peuvent également survenir dans les cas graves de toxicité et sont considérées comme une urgence neurologique.
Sa toxicité est augmentée par l'érythromycine, la cimétidine et les fluoroquinolones, telles que la ciprofloxacine. 

Certaines formulations à base de lipides de 1,3-diméthylxanthine peuvent entraîner des niveaux toxiques de théophylline lorsqu'elles sont prises avec des repas gras, un effet appelé décharge de dose, mais cela ne se produit pas avec la plupart des formulations de théophylline.
La toxicité de la 1,3-diméthylxanthine peut être traitée avec des bêta-bloquants. En plus des convulsions, les tachyarythmies sont une préoccupation majeure.
La 1,3-diméthylxanthine ne doit pas être utilisée en association avec l'ISRS fluvoxamine.

La 1,3-diméthylxanthine, également connue sous le nom de théophylline, est un composé alcaloïde naturel présent dans diverses plantes, notamment les feuilles de thé, les fèves de cacao et les noix de cola. 
Il est classé comme une méthylxanthine, ce qui signifie qu'il s'agit d'un dérivé de la xanthine, une base purique. 
Le composé a des propriétés stimulantes et est connu pour agir comme un bronchodilatateur, ce qui le rend utile dans le traitement des maladies respiratoires telles que l'asthme et la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). 

De plus, il a de légers effets diurétiques et peut aider à augmenter la fréquence cardiaque et à améliorer la vigilance, bien que son utilisation thérapeutique principale soit dans la gestion de la bronchoconstriction. 
La structure chimique de la 1,3-diméthylxanthine se compose d'un squelette de xanthine avec deux groupes méthyles attachés à des atomes d'azote aux positions 1 et 3 du cycle purique. 
La 1,3-diméthylxanthine est couramment utilisée comme ingrédient actif dans plusieurs préparations pharmaceutiques, telles que les comprimés à libération prolongée, pour sa capacité à détendre les muscles lisses des bronches et à améliorer la circulation de l'air dans les poumons.

Point de fusion : 271-273 °C
Point d'ébullition : 312,97 °C (estimation approximative)
Densité : 1,3640 (estimation approximative)
Indice de réfraction : 1,6700 (estimation)
Point d'éclair : 11 °C
Température de stockage : 2-8°C
Solubilité : 0,1 M HCl : soluble
Forme : poudre
pKa : 8,77 (à 25 °C)
Couleur : blanc
Solubilité dans l'eau : 8,3 g/L (20 ºC)
Numéro Merck : 14 9285
Numéro d'identification : 13463
Classe BCS : 3,1
Stabilité : Stable. Incompatibles avec les agents oxydants puissants.
InChIKey : ZFXYFBGIUFBOJW-UHFFFAOYSA-N
LogP : -0,020

La 1,3-diméthylxanthine est largement métabolisée dans le foie.
Il subit une N-déméthylation via le cytochrome P450 1A2. 
La 1,3-diméthylxanthine est métabolisée par des voies parallèles de premier ordre et de Michaelis-Menten. Le métabolisme peut devenir saturé (non linéaire), même dans la plage thérapeutique. 

De petites augmentations de dose peuvent entraîner des augmentations disproportionnées de la concentration sérique. 
La 1,3-diméthylxanthine à la caféine est également importante dans la population infantile. Les fumeurs et les personnes atteintes d'insuffisance hépatique (foie) le métabolisent différemment.
La cigarette et la consommation de marijuana induisent le métabolisme de la théophylline, augmentant ainsi la clairance métabolique de la drogue.

La 1,3-diméthylxanthine peut réduire la tension des muscles lisses et dilater les voies respiratoires ; Il peut favoriser la libération d'épinéphrine et de noradrénaline endogènes et détendre les muscles lisses des voies respiratoires ; Inhiber la libération d'ions calcium par le réticulum endoplasmique des muscles lisses, réduire la concentration d'ions calcium intracellulaires et produire une dilatation des voies respiratoires. 
La 1,3-diméthylxanthine a un fort effet relaxant sur les muscles lisses, mais elle n'est pas aussi efficace que β agonistes des récepteurs. Le 27 octobre 2017, la liste des agents cancérigènes publiée par le centre international de recherche sur le cancer de l'Organisation mondiale de la santé a été préalablement établie à titre de référence. 
La 1,3-diméthylxanthine a été incluse dans la liste des cancérogènes de catégorie 3.

La 1,3-diméthylxanthine est une méthylxanthine qui agit comme un bronchodilatateur faible. 
Il est utile pour le traitement chronique et n'est pas utile dans les exacerbations aiguës.
La 1,3-diméthylxanthine est un alcaloïde méthylxanthine qui est un inhibiteur compétitif de la phosphodiestérase (PDE ; Ki = 100 μM). 

La 1,3-diméthylxanthine est également un antagoniste non sélectif des récepteurs de l'adénosine A (Ki = 14 μM pour A1 et A2). 
La 1,3-diméthylxanthine induit un relâchement des muscles lisses des bronchioles félins précontractés avec de l'acétylcholine (CE40 = 117 μM ; CE80 = 208 μM). 
Des formulations contenant de la 1,3-diméthylxanthine ont été utilisées dans le traitement de l'asthme et de la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO).

Malgré de nombreuses recherches, on ne comprend pas clairement comment la 1,3-diméthylxanthine provoque la bronchodilatation. 
L'inhibition de l'enzyme PDE, responsable de l'hydrolyse de l'AMPc et de la guanosine monophosphate cyclique (GMPc), est généralement mise en avant comme mécanisme d'action ; cependant, la 1,3-diméthylxanthine est également un antagoniste de l'adénosine et a été impliquée dans la stimulation de la libération de catécholamines. 
Il a été clairement démontré que la théophylline inhibe les EDP in vitro, et des études cristallographiques aux rayons X ont identifié les résidus de liaison qui interagissent avec les méthylxanthines. 

La 1,3-diméthylxanthine se lie à une sous-poche du site actif et semble être prise en sandwich entre une phénylalanine et une valine via des liaisons hydrophobes. 
Son affinité de liaison est renforcée par l'hydrogénoliaison entre une tyrosine et N-7 et une glutamine et O-6 du système cyclique xanthine. 
Il existe plus de 11 familles d'EDP, et des études ont montré que la théophylline se lie de la même manière aux isoformes des familles PDE4 et PDE5.

La relaxation des muscles lisses, l'excitation du système nerveux central (SNC) et la stimulation cardiaque sont les principaux effets pharmacologiques observés chez les patients traités par la théophylline.
L'action de la 1,3-diméthylxanthine sur le système respiratoire est facilement visible chez l'asthmatique par la résolution de l'obstruction et l'amélioration de la fonction pulmonaire. 
D'autres mécanismes qui peuvent contribuer à l'action de la théophylline dans l'asthme comprennent l'antagonisme de l'adénosine, l'inhibition de la libération de médiateurs, l'augmentation de l'activité sympathique, l'altération de la fonction des cellules immunitaires et la réduction de la fatigue des muscles respiratoires. 

La 1,3-diméthylxanthine peut également exercer un effet anti-inflammatoire grâce à sa capacité à moduler la libération de médiateurs inflammatoires et la fonction des cellules immunitaires.
L'inhibition des phosphodiestérases nucléotidiques cycliques est largement acceptée comme le mécanisme prédominant par lequel la théophylline produit la bronchodilatation. 
Les phosphodiestérases sont des enzymes qui inactivent l'AMPc et la guanosine monophosphate cyclique (GMP), deuxièmes messagers qui médient la relaxation des muscles lisses bronchiques.

La 1,3-diméthylxanthine a un indice thérapeutique étroit et produit des effets secondaires qui peuvent être graves, voire mettre la vie en danger. 
Il est important de noter que la concentration plasmatique de théophylline ne peut pas être prédite de manière fiable à partir de la dose. 
Dans une étude, la dose orale de théophylline nécessaire pour produire des concentrations plasmatiques thérapeutiques (c.-à-d. entre 10 et 20 μg/mL) variait entre 400 et 3 200 mg/jour. 

L'hétérogénéité entre les individus dans la vitesse à laquelle ils métabolisent la 1,3-diméthylxanthine semble être le principal facteur responsable de la variabilité des taux plasmatiques. 
Des conditions telles que l'insuffisance cardiaque, les maladies du foie et l'obstruction respiratoire sévère ralentiront le métabolisme de la théophylline.
En cas de surdosage aigu, la 1,3-diméthylxanthine provoque souvent des vomissements sévères (75 % en cas de surdose aiguë contre 30 % en cas de toxicité chronique). 

Les vomissements sont souvent difficiles à contrôler avec des antiémétiques. 
On pense que la 1,3-diméthylxanthine provoque une augmentation de la sécrétion d'acide gastrique et une relaxation des muscles lisses. 
La 1,3-diméthylxanthine provoque une libération de catécholamines endogènes et est donc un stimulant cardiaque. 

Il y a une réponse chronotrope inotrope positive et dose-dépendante. 
Les tachydysrythmies, en particulier la tachycardie supraventriculaire, sont fréquentes en raison de l'antagonisme des récepteurs de l'adénosine. 
Des tachydysrythmies ventriculaires peuvent également survenir en cas de surdosage aigu ; Cependant, ils sont rares à des concentrations thérapeutiques. 

L'administration rapide d'aminophylline a entraîné une mort cardiaque subite. 
L'hypokaliémie, l'hypercalcémie et l'hyperglycémie peuvent également contribuer aux arythmies. 
En cas de toxicité chronique, les dysrythmies surviennent à des concentrations sériques plus faibles (40 à 80 mg ml-1) par rapport au surdosage aigu. 

La 1,3-diméthylxanthine stimulera le centre respiratoire du SNC, provoquant une augmentation de la fréquence respiratoire et peut entraîner une alcalose respiratoire. 
La 1,3-diméthylxanthine provoquera une stimulation et une vasoconstriction du SNC, similaires à la caféine, et peut entraîner des maux de tête, de l'anxiété, de l'agitation, de l'insomnie, des tremblements, de l'irritabilité, des hallucinations et des convulsions. 
Les méthylxanthines présentent de faibles effets diurétiques en augmentant le débit cardiaque et la vasodilatation rénale. 

La 1,3-diméthylxanthine a un indice thérapeutique étroit, avec 12 à 25 % des patients en surdose développant des symptômes graves ou potentiellement mortels, notamment des arythmies et des convulsions. 
La toxicité peut se développer à des concentrations sériques plus faibles chez les personnes traitées de manière chronique ou les patients âgés. 
L'âge supérieur à 60 ans et l'utilisation chronique sont des facteurs de risque d'augmentation de la morbidité et de la mortalité.

La 1,3-diméthylxanthine doit être utilisée avec prudence chez les patients atteints d'une maladie du myocarde, d'une maladie du foie et d'un infarctus aigu du myocarde. 
La demi-vie de la théophylline est prolongée chez les patients atteints d'insuffisance cardiaque congestive.

En raison de sa marge de sécurité étroite, une extrême prudence est justifiée lors de l'administration concomitante de médicaments, tels que la cimétidine ou le zileuton, qui peuvent interférer avec le métabolisme de la théophylline. 
En effet, l'administration concomitante de zileuton avec la théophylline est contre-indiquée. 
Il est également prudent d'être prudent lors de l'utilisation de la théophylline chez les patients ayant des antécédents de convulsions.

Histoire de la 1,3-diméthylxanthine :
La 1,3-diméthylxanthine a d'abord été extraite des feuilles de thé et identifiée chimiquement par le biologiste allemand Albrecht Kossel. 
Une tasse de thé contient environ 1 mg/ml de théophylline. 
En 1895, une synthèse chimique de la théophylline à partir de l'acide 1,3-diméthylurique a été décrite par Emil Fischer et Lorenz Ach. 

La 1,3-diméthylxanthine a été synthétisée par Wilhelm Traube en 1900. 
La 1,3-diméthylxanthine, un dérivé de la théophylline éthylènediamine, est largement utilisée en raison de sa plus grande solubilité aqueuse.
La 1,3-diméthylxanthine a été utilisée pour la première fois cliniquement comme diurétique en 1902. 

La première utilisation clinique réussie de la 1,3-diméthylxanthine dans l'asthme bronchique a été rapportée en 1922 par S. Hirsch, qui a décrit que quatre patients ont bien répondu à l'administration rectale d'un mélange de 66,7 % de théophylline et de 33,3 % de théobromine. 
Il a également testé la combinaison de 1,3-diméthylxanthine et de théobromine sur des bandes de muscles lisses bronchiques bovins et a noté une relaxation des muscles lisses. 
Ainsi, il a conclu que les diméthylxanthines agissent en produisant une relaxation des muscles lisses bronchiques. 

En 1937, deux essais cliniques simultanés mais indépendants ont rapporté que les méthylxanthines étaient efficaces dans l'asthme. 
La Food and Drug Administration a approuvé l'utilisation de la 1,3-diméthylxanthine pour l'asthme aux États-Unis en 1940.
Il existe plus de 300 dérivés de la théophylline. 

Les principaux dérivés comprennent l'aminophylline, la théophylline de dihydroxypropyle et l'oxtriphylline.
2. Doxofylline : 7-(1,3-dioxalan-2-ylméthyl) théophylline. 
La 1,3-diméthylxanthine a des effets antitussifs et bronchodilatateurs. 

Dans des études animales et humaines, il a montré une efficacité similaire à celle de la théophylline, mais avec moins d'effets secondaires. 
Des recherches connexes ont montré que l'effet de la doxofylline sur la relaxation des voies respiratoires est 10 à 15 fois supérieur à celui de l'aminophylline.
3. Diprophylline : 7-(2,3-dihydroxypropyl)-1,3-diméthyl-3,7-dihydro-1H-purine-2,6-dione. 

La diprophylline est la préparation neutre de la théophylline. 
La 1,3-diméthylxanthine provoque moins de nausées et d'irritations gastriques.
4. Oxtriphylline : théophyllinate de choline ; administré par voie orale. 

L'oxtriphylline est cinq fois plus soluble que l'aminophylline.
La 1,3-diméthylxanthine a été extraite pour la première fois des feuilles de thé et identifiée chimiquement vers 1888 par le biologiste allemand Albrecht Kossel.
Sept ans plus tard, une synthèse chimique commençant par l'acide 1,3-diméthylurique a été décrite par Emil Fischer et Lorenz Ach.

La synthèse de la purine de Traube, une méthode alternative pour synthétiser la théophylline, a été introduite en 1900 par un autre scientifique allemand, Wilhelm Traube.
La 1,3-diméthylxanthine a été utilisée pour la première fois en 1902 comme diurétique.

Il a fallu 20 ans supplémentaires avant qu'il ne soit signalé pour la première fois comme traitement de l'asthme.
Le médicament a été prescrit dans un sirop jusque dans les années 1970 sous le nom de Theostat 20 et Theostat 80, et au début des années 1980 sous forme de comprimés appelés Quibron.

Utilisations de la 1,3-diméthylxanthine :
Dérivé de xanthine avec des activités diurétiques, stimulantes cardiaques et relaxantes des muscles lisses ; isomère avec la théobromine. 
De petites quantités sont présentes dans le thé. 
La 1,3-diméthylxanthine est tonique et revitalisante pour la peau. 

Son activité cosmétique n'est pas clairement ou définitivement établie. 
La 1,3-diméthylxanthine se trouve le plus souvent dans les produits anti-cellulite. 
La 1,3-diméthylxanthine appartient à la même famille de produits chimiques biologiques que la caféine. 

Il est naturellement présent dans le thé.
La 1,3-diméthylxanthine est principalement utilisée dans la prise en charge de l'asthme. 
La 1,3-diméthylxanthine est également utilisée pour traiter la composante réversible de l'obstruction des voies respiratoires associée à la bronchopneumopathie chronique obstructive et pour soulager la dyspnée associée à l'œdème pulmonaire qui se développe à partir d'une insuffisance cardiaque congestive.

La 1,3-diméthylxanthine, ou théophylline, est principalement utilisée dans le domaine médical pour traiter les affections respiratoires, en particulier l'asthme et la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). 
En tant que bronchodilatateur, il agit en relaxant les muscles lisses des voies respiratoires, aidant à les élargir et à améliorer la circulation de l'air, ce qui facilite la respiration pour les personnes atteintes de ces conditions. 
Il est également utilisé dans la gestion des crises d'asthme aiguës, de la bronchite chronique et de l'emphysème, soulageant des symptômes tels que la respiration sifflante et l'essoufflement. 

En plus de ses bienfaits respiratoires, la 1,3-diméthylxanthine est parfois utilisée comme stimulant léger pour améliorer la vigilance et réduire la fatigue, similaire à la caféine, en raison de sa capacité à bloquer les récepteurs de l'adénosine dans le cerveau. 
De plus, le composé a des propriétés diurétiques, ce qui signifie qu'il peut augmenter la production d'urine, et il est parfois inclus dans des traitements visant à réduire l'excès de liquide dans le corps, en particulier dans des conditions comme l'œdème. 
La 1,3-diméthylxanthine peut également être utilisée dans certaines associations avec d'autres médicaments pour traiter les infections respiratoires ou dans le cadre de stratégies de gestion à long terme des maladies pulmonaires.

La 1,3-diméthylxanthine est également impliquée dans plusieurs autres domaines thérapeutiques au-delà de ses propriétés bronchodilatatrices. 
Il a été étudié pour son potentiel à améliorer l'efficacité d'autres traitements respiratoires lorsqu'il est utilisé en combinaison avec des stéroïdes ou des bêta-agonistes, renforçant ainsi leurs effets dans la gestion des affections respiratoires chroniques. 
De plus, le composé a fait l'objet de recherches pour son rôle dans la stimulation du système nerveux central, offrant potentiellement des avantages pour des conditions telles que l'apnée chez les prématurés, où il peut aider à stimuler la respiration et à réguler les schémas respiratoires.

Une autre utilisation importante est son potentiel en tant que traitement de certaines affections cardiaques, en particulier dans la gestion des symptômes liés à l'insuffisance cardiaque congestive et à l'hypertension pulmonaire. 
Sa capacité à dilater les vaisseaux sanguins peut améliorer la circulation sanguine et réduire la pression sur le cœur. 
La 1,3-diméthylxanthine a également été explorée pour son rôle dans la gestion du poids, car ses effets stimulants peuvent augmenter le métabolisme et favoriser la combustion des graisses. 

Cependant, son utilisation à cette fin est moins courante et ne constitue pas un traitement de première intention.
De plus, en raison de son action diurétique, la théophylline est parfois utilisée dans la gestion des affections où la réduction de la rétention d'eau est nécessaire, comme dans certaines maladies rénales ou hépatiques. 
Malgré son large éventail d'utilisations, le médicament nécessite un dosage et une surveillance minutieux en raison de sa fenêtre thérapeutique étroite, car un surdosage peut entraîner des effets secondaires importants, notamment des nausées, des vomissements et des arythmies cardiaques.

Profil d'innocuité de la 1,3-diméthylxanthine :
Poison humain par ingestion, voies parentérale, intraveineuse et rectale, poison expérimental par plusieurs voies. 
Un tératogène expérimental. 
Effets systémiques chez l'homme : coma, convulsions ou effet sur le seuil convulsif, cyanose, modifications de l'ECG, fièvre et autres effets métaboliques, arythmies cardiaques, modification de la fréquence cardiaque, hyperglycémie, acidose métabolique, nausées ou vomissements, modifications du taux de potassium, stimulation respiratoire, modifications des glandes salivaires, somnolence, tremblements. 

Effets expérimentaux sur la reproduction, données de mutation humaine rapportées. 
La 1,3-diméthylxanthine est utilisée comme dturetique, stimulant cardtac, relaxant des muscles lisses et pour traiter l'asthme. 
Lorsqu'il est chauffé jusqu'à la décomposition, il émet des fumées toxiques de NOx.

  • Partager !
NEWSLETTER